vendredi 30 août 2013

Jour 2 - péninsule de snaefellsnes

Petite mise au point suite à des commentaires reçus : tout d'abord, explication pour l'histoire des plaques prises en photo le premier jour : il s' agit en réalité d'un endroit où la plaque eurasiatique et américaine se rejoignent. La faille est crée par le mouvement de ces plaques et cela est encore plus visible ici qu'ailleurs. Le pont, construit symboliquement, permet de passer d'un continent à l'autre, tandis que la faille est une sorte de no man's land...
Autre chose : il m'est impossible de me conntecter sur mon adresse mail la plus courante (artichox) mais je peux aaccéder aux autres.

Première nuit à l'auberge de jeunesse. Tout va bien et je voudrai en profiter pour faire un petit coucou à Alain, Patricia, Kiki, Léon et Daniel. Le décalage horaire est en notre faveur et nous permet de gagner deux heures de sommeil avant d'entamer la journée, ce qui est plutôt agréable ! Puis vient l'heure du petit déjeuner ; le lieu est fort bien équipé et nous mangeons avec plaisir dans la cuisine de l'auberge.


Après avoir terminé de ranger nos affaires et rendu les clefs, nous partons vers le nord direction la péninsule de Snaefellsnes. Le temps est juste... minable !!! Je verrai d'ailleurs le soir qu'un avis de ttempête avait été émis,  ce qui explique le vent et la pluie...
Manque de chance, nous avions prévu quelques balades et de nombreux arrêts...

Nous nous dirigeons vers le cratère de Eldborgarhraun et tentons d'y accéder.  Malheureusement trop loin, nous rebroussons chemin à la moitié, bien trempés. Par chance des toilettes avec douches nous attendent à côté du parking, et nous nous changeons donc là bas.



Sur le chemin nous croisons de nombreux moutons et nous arrêtons encore une fois faire de l'essence, tandis qu'une vertèbre de baleine décore le lieu.

Nous croisons également plusieurs cascades et nous arrêtons manger avec vue sur une montagne que nous distinguons à peine à cause des nuages.


En comparaison, le cratère était bien plus visible malgré la pluie...!


Nous continuons notre route et nous arrêtons aux falaises de basalte de Gerduberg. Par chance on peut prendre des photos depuis la voiture...


Suite du trajet et arrêt à Ytri Tunga, où l'on espère voir des phoques. Malheureusement le vent est glacialz et le froid saisissant. On descend, déjà un peu humides et on se rend sur la plage. Après quelques minutes Andréa renonce et retourne à la voiture mais Alice dit apercevoir une tache sur les rochers. Elle s' approche et ça y est, elle est sûre de voir un phoque ! Andréa rentre malgré tout, tandis qu'Alice et Guillaume (un peubplus loin derrière) continuent. Et cela aura valu le coup ! Trois phoques à 10/15 mètres, un curieux qui s' approche dans l'eau, et d'autres au loin se prélassant sur des rochers, sous la pluie... je n'ai malheureusement pas assez de débit pour partager les vidéos, mais toujours est il que nous étions si près que nous avons choisi de faire demi tour pour ne pas les déranger, même s' ils semblaient n'avoir que faire de notre présence à leur côté (ils nous regardaient et se recouchaient).


Vu l'heure et le temps nous décidons ensuite de rentrer à l'auberge et de nous payer un sèche linge.

2 commentaires:

  1. Salut Pépito
    Je suis content de voir que tout va bien et j'ai transmis ton coucou à tous. Tu penses bien qu'on t'envoie nous aussi plein de bisous. Là j'ai du mal à écrire gêné que je suis par Titou qui ronfle sur le lit ! Il nous tarde de te lire en espérant que tu auras le temps d'écrire.
    Bonne journée
    PS : Je n'ai pas trop compris cette faille entre Amérique et Europe...
    rePS : Patricia te fait demander si Alice voit ses mails.

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  2. Ah les plaques ! Voilà l'explication...
    Dis voir Pépito en Islande avec les volcans, ce sont des plaques de cuisson AH !!!
    Bon c'était la blague du jour, celle à 2 balles.
    Nous écrirons donc à Alice ailleurs. Dis lui aussi que Patou a essayé d'appeler hier soir sur le portable de Guillaume : impossible et ce matin d'Andrea : pas mieux.
    L'Islande ce doit être loin.

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